KILIBA : Les anciens et travailleurs de la Sucrerie de Kiliba réclament leur décompte final et 25 mois impayé

Les anciens et travailleurs de la Sucrerie de Kiliba actuellement Sucrerie du Kivu, menacent de bloquer les portes de l’hôpital, de l’école et la grande porte de la dite sucrerie ainsi que barricader la route nationale numéro 5 la semaine prochaine si leurs revendications ne trouvent pas solution. Ceci est la décision ressortie dans la grande réunion extraordinaire qui a regroupée plus de 450 anciens et travailleurs de la dite société actuellement  Sucrerie du Kivu, ce dimanche 1^er mars 2015 dans les enceintes de l’institut Kitona, à Kiliba ONDS, plaine de la Ruzizi, territoire d’Uvira à 108 Km de la ville de Bukavu. Ces travailleurs réclament et accusent le gouvernement central et spécialement au liquidateur de cette entreprise le non paiement  de leur décompte final,  pensions et retraites des anciens travailleurs et rapatriement de certains travailleurs recruter par cette société sucrière.

KAPAMA KIPUTA Thomas, porte parole de ces travailleurs, indique qu’ils ont déjà expédieriez plusieurs correspondances au gouvernement qu’au niveau national que provincial pour cette fin mais jusque là elles restent sans suite. Ce dernier  chute tout en disant qu’ils accusent aussi le SUPER GROUPE, entrepreneure de la dite nouvelle appellation de la Sucrerie du Kivu de ne  pas reprendre les activités et le non paiement de 25 mois de salaire des travailleurs qui assurent les services minimum dans cette entreprise.

ENGWANDA ADJUBA Wickler, liquidateur de la sucrerie de Kiliba, contacté par votre radio, celui-ci appel les travailleurs à la patience et que selon lui, ils sont en pourparlers avec  la justice au niveau de Bukavu et Kinshasa où les comptes bancaire pour la liquidation sont bloqué en vue d’honorer favorablement à leurs revendications dans deux ou trois semaines. Les travailleurs, eux disent être fatigué avec des promesses qu’ils ont qualifiées « des fausses promesses » de la part de ce liquidateur. Ces derniers demandent l’implication de l’autorité provinciale dans ce dossier comme il est encore temps.